vendredi 27 novembre 2015

Si tu trouves que tu as trop de problèmes, c'est le signe que tu dois devenir plus intelligent...



L'intelligence désigne communément le potentiel des capacités mentales et cognitives d’un individu, animal ou humain, lui permettant de résoudre un problème ou de s’adapter à son environnement.

Il paraît donc évident que les problèmes et les difficultés de la vie ont le pouvoir de nous rendre plus intelligents et par conséquent sont en réalité pleinement bénéfiques pour nous à condition que nous les acceptions tout en y remédiant...

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vendredi 27 mars 2015

Les Cromagnons du 21e siècle

L'évolution fulgurante des téléphones mobiles m'a toujours impressionné. La possibilité que nous donne ces terminaux, d'accéder à cette gigantesque source d'informations qu'est Internet, a suscité en moi bien des rêves, des ambitions et même des convictions. L'une de ces convictions était la certitude que ces appareils nous rendraient davantage intelligents en nous permettant d'avoir plus facilement et rapidement accès à la connaissance. A partir de ce moment, j'imaginais une évolution technologique exponentielle, une espérance de vie accrue, de nouveaux moyens de transport toujours plus rapides, la colonisation de notre système solaire etc.




Aujourd'hui, malheureusement, force est de constater que ce n'est absolument pas le cas. Malgré de très remarquables progrès ayant fortement contribué au développement du monde en général, les hommes ne sont pas plus intelligents qu'ils ne l'étaient auparavant. Leurs facultés à connaitre, à comprendre et à résoudre leurs problèmes ne se sont pas bonifiées. D'ailleurs, ce n'est pas la recrudescence des fautes d'orthographe ou de grammaire dans nos emails, SMS, tweets etc. qui va me contredire. Nous faisons tellement de fautes dans nos écrits que Molière doit certainement se ronger les os dans sa tombe.
En dépit de toutes ces évolutions techniques,  nos habitudes vis-à-vis de la connaissance, de l'éducation et de l'apprentissage se sont très peu améliorées si ce n'est pas du tout. Combien parmi nous ont le réflexe de chercher l'orthographe ou la définition d'un mot, dont nous ne sommes pas très sûr, lors de la rédaction d'un courrier ou d'un email? En général, nous préférons simplement remplacer le mot "ambiguë" par un autre même si pour cela nous devons reformuler entièrement nos propos.
Combien sont devenus plus intelligents malgré nos accès quasi illimité à la somme des savoirs humain?  Pourquoi ne savons-nous toujours pas tirer profit de cette gigantesque bibliothèque numérique qu'est Internet?

Alors que toutes ces interrogations me taraudaient l'esprit, mes pensées se sont tournées vers les propos de l'Ecclésiaste: "La sagesse crie dans les rues, Elle élève sa voix dans les places(…) Jusqu' à quand, stupides, aimerez- vous la stupidité? (...) Et les insensés haïront-ils la science?"
Je fus triste de constater qu'il avait entièrement raison. Alors que la connaissance est, on ne peut mieux, disponible et accessible, nous choisissons délibérément de l'ignorer et de nous contenter du bien maigre savoir qui est le nôtre. A cause de notre paresse et de notre désinvolture, nous sommes semblables à des hommes de Cro-Magnon vivant au milieu du 21e siècle.
Etant donné que la qualité de nos vies dépend énormément de notre savoir, comment pouvons nous être aussi négligents et paresseux en ce qui concerne le fait d'apprendre et d'acquérir de nouvelles connaissances?

De nos jours, l'arrivée des assistants vocaux comme Siri, Google Now ou encore Cortana, facilite grandement l'accès aux informations. Ces interfaces ont pour
but d'humaniser nos terminaux mobiles en nous permettant de discuter de vive voix avec eux comme nous le ferions avec un autre être humain. Plus besoin de saisir quoi que ce soit sur un clavier. Grâce aux commandes vocales, il est désormais possible de questionner oralement son mobile et celui - ci nous répond.
Notre incapacité à utiliser efficacement ces outils me laisse penser que nous fonctionnons comme des hommes des cavernes (Néandertaliens) au milieu des ressources de l'homo sapiens. Surtout, si l'on tient compte du fait que la différence majeure entre ces deux protagonistes de la théorie de l'évolution selon Darwin était le développement de l'intelligence qui permit l'utilisation des outils.


La pyramide de Maslow




La pyramide de Maslow pourrait apporter quelques éléments de réponse à toutes ces interrogations susmentionnées. En effet, ce dernier affirme que les hommes chercheraient à satisfaire leurs besoins primaires (faim, soif, sexualité, respiration, sommeil, élimination) avant toutes autres choses. Ainsi, les humains seraient davantage préoccupés par leurs besoins physiologiques que par leurs besoins psychologiques et encore moins par leurs besoins spirituels.
Maslow va plus loin et prétend que la très grande majorité des terriens se trouvent dans ce cas de figure. Cela se comprend, par ailleurs, au regard du taux de pauvreté dans le monde. Comment des gens qui ont à peine de quoi subvenir à leurs besoins pourraient-ils être préoccupés par leur évolution intellectuelle?
Qu'elle est donc l'utilité d'avoir un smartphone et de se connecter à Internet quand on a de grosses difficultés à subvenir à ses besoins les plus basiques?


Changer de paradigme

En creusant davantage j'ai compris que le problème venait en réalité de notre mentalité, notre paradigme. Le Rev. Michel Ambouroue, dans l'un de ses sermons, fit la déclaration suivante: "Je suis un esprit, possédant une âme et vivant dans un corps…". Ces propos ont suscité en moi la nécessité d'une profonde introspection. Ils mettent clairement en évidence le problème fondamentale issue du paradigme qui est le nôtre.
En effet, la plupart d'entre nous pense, de manière consciente ou inconsciente, que notre être se résume à notre corps et à notre âme. Ainsi, nous prenons soin de ces deux éléments et travaillons à subvenir à chacun de leurs besoins. Ce paradigme erroné est la cause même de la situation déplorable dans laquelle nous sommes. Il est certain que nous avons un corps et une âme, mais plus encore, nous sommes des esprits et comme le corps se nourrit d'aliments, l'âme d'émotions, l'esprit, lui, se nourrit de connaissances.
A ce propos, un écrivain contemporain du nom de Melki Rish a écrit :"La nourriture de l`esprit ne se trouve pas dans une boîte de conserve. Elle vient de ce que l'on consomme mentalement. Notre éducation, nos connaissances et nos expériences sont les matières élémentaires, qui nourrissent notre cérébral." C'est par ailleurs cette nourriture qui, à mon avis, devrait pourvoir aux besoins du corps et l'âme.

En observant, tant soit peu, les grands succès de ce siècle (Bill Gates, Mark Zuckerberg, Larry Ellison ou Steve Jobs), force est de constater que l'une des similitudes entre ces hommes est qu'ils ont fait fortune grâce à leurs idées et donc à leur esprit. Pourquoi ne pouvons-nous pas, tout simplement, suivre leurs exemples?

L'étude du développement physiologique humain a démontré que la physiologie de l'homme en général est dépendante de son évolution mentale et spirituelle. Ainsi refuser d'apprendre et de connaitre c'est refuser de développer ses facultés mentales et psychiques et, par conséquent, c'est refuser d'évoluer même au niveau physiologique. Cela, par ailleurs, nous est suffisamment démontrée par la médecine. Combien de fois avons-nous refouler la mort en trouvant des remèdes permettant de guérir des maladies autrefois mortelles telles que la peste, la tuberculose, le paludisme, le choléra ?
En y réfléchissant, force est de conclure que les propos suivants, tirés de la Bible, sont d'une véracité incontestable: "Mon peuple périt, faute de connaissance…".
En accord avec cette déclaration, est-il possible que nous mourrions parce que, nous ne savons toujours pas comment faire autrement?

Il est donc d'une priorité extrême que nous transcendions nos besoins primaires et que nous changions de paradigme, car notre évolution et même notre survie en dépendent. Ainsi, si notre esprit est capable de nous apporter reconnaissance, richesse et par la même occasion nous faire sortir de la précarité et de la pauvreté, alors nous devrions quotidiennement travailler à son développement. La bonne nouvelle est qu'en nous y attelant,  ce n'est pas seulement notre esprit que nous développerons mais c'est notre monde que nous changerons.
"Scientia Potentia este": le savoir c'est le pouvoir.
Edouard Claude Oussou
Cet article a également été publie sur le 1er quotidien en ligne gabonais: Gabonreview.com ainsi que dans L'union du 21 mars 2015.
http://gabonreview.com/blog/les-cro-magnon-du-21e-siecle/

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vendredi 6 mars 2015

Notre perception "illusoire" du monde !!!


Nous percevons le monde en fonction des informations que nous avons ou avons reçus. Voilà un fait indéniable dont nul ne peut douter. Depuis notre tendre enfance nous sommes formés de façon conventionnelle à percevoir et à interprété le monde tous de la même façon.
Mais nous sommes nous demandez une seule fois si notre perception du monde était erronée? Le monde est-il réellement tel que nous le voyons? Est-il possible que nous ne voyons qu'une portion de ce qu'il est réellement?



Notre cerveau gère et analyse environ 4 milliards de bits d'informations par seconde, pourtant seulement 2000 bits sont soumis à notre conscience soit 0,00005%.
Vous rendez-vous comptes que théoriquement nous ne percevons que 0,00005% du monde qui nous entoure?

Or nous savons également que notre perception est fonction de nos connaissances, ce qui reviendrait donc à dire que théoriquement, pour la majeure partie d'entre nous, nos connaissances sur le monde sont de l'ordre de 0,00005%.

Quand on prend conscience de cela, comment restez le même et vivre sa vie comme si de rien n'était dans un monde totalement illusoire?

Plusieurs de mes amis sont chrétiens ou croyants, alors j'ai jugé de bon de prendre 1 exemple biblique qui démontre à suffisance ce que je dit.

Adam et Eve
"Le serpent dit à la femme: «Mais Non, vous ne mourrez pas! mais le jour où vous en mangerez, vos yeux s'ouvriront et vous serez comme des dieux possédant la connaissance de ce qui est bon ou mauvais». La femme vit que l'arbre était bon à manger, séduisant à regarder, précieux pour agir avec clairvoyance. Elle en prit un fruit dont elle mangea, elle en donna aussi à son mari qui était avec elle et il en mangea. Leurs yeux à tous 2 s'ouvrirent et ils surent qu'ils étaient nus."
Genèse 3: 1-7

Le passage ci-dessus nous montre qu'il est possible de vivre successivement dans le même endroit 2 réalités totalement différentes :
- celle précédent l'absorption du fruit et dans laquelle ils pouvaient se tenir devant Dieu, communiquer avec les animaux et la nature mais n'avaient aucune notion de ce qui est bien ou mal et donc aucune notion de peur, de crainte, d'inquiétude ou encore de leur nudité etc.
- celle suivant l'absorption du fruit et dans laquelle ils ont conscience du bien et du mal, de leur nudité, ce qui entraine la peur, l'inquiétude, la nécessité de sa cacher, de se revêtir et donc de se protéger.

Ce basculement entre ces 2 réalités diamétralement opposées a été rendu possible grâce à une seule et unique chose: LA CONNAISSANCE.



Un point important est à souligner: "Leurs yeux à tous 2 s'ouvrirent et ils surent qu'ils étaient nus" !
Ceci m'emmène à me demander quelle aurait été la situation si Adam avait refusé de manger le fruit ?
Certainement ils auraient vécu tous deux dans le même endroit, dans 2 réalités différentes et auraient été incapables de se comprendre ou peut être même de se voir tous cela à cause de 2 consciences différentes fruit de 2 connaissances différentes.
Vous rendez-vous compte du pouvoir qu'a notre conscience? Elle est vraisemblablement capable d'affecter nos sens (vue, ouïe, odorat, toucher, gout) et de nous faire percevoir des choses qui sont ou ne sont pas et ce sur la base de sa banque d'informations.

Les informations que nous recevons et avons reçues sont assimiler par notre conscience qui elle crée notre réalité quotidienne.

Que devons nous donc faire pour changer cette réalité en une autre ou TOUT serai en notre faveur???

La réponse est évidente je pense...

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jeudi 5 mars 2015

Nos rapports affectifs en tant qu'Africain...


J'ai réfléchi sur les rapports que j'ai avec ma famille: père, mère, frères et soeurs, et j'ai analysé les rapports que mes amis "proches" avaient avec leurs familles respectives.

S'il y'a bien un point récurrent, c'est la façon dont les sentiments sont exprimés au sein de nos familles.

Combien d'entre nous exprimons clairement nos sentiments envers nos proches? Combien de fois leur avons nous dit "je t'aime ......"?
C'est à croire qu’au sein même de nos familles, dire "je t'aime..." est un acte tabou. Sans compter que, pour la plupart d'entre nous, nos parents ne nous l'ont certainement jamais dit, du moins d'aussi loin que l’on puisse se souvenir.



Pour ma part j'ai eu l’occasion de percevoir la différence entre les parents blancs et les parents noirs…

Exemple: un parent blanc console son enfant qui pleure pour aller à l'école, un parent noir lui met une bonne giffle…

Je me réconfortais en pensant que la façon dont ils sont traités était la cause de leur impertinence ou impolitesse; liant donc inconsciemment le manque d'affection à ma “bonne” éducation. Toutefois, la manifestation de l’amour et de l’affection à son enfant est-elle néfaste pour l’éducation de ce dernier?

Une réponse affirmative pourrait être majoritaire.

Néanmoins, il est généralement admis que l'on ne peut donner que ce que l’on a soit même reçu …
Par conséquent, si nos parents ne nous ont pas donné l'affection tant attendue, comment pourrions nous, en donner à nos enfants? Ou même à nos parents?

Pour ma part, je ne veux pas m'inscrire dans cette logique. Je veux démontrer mon amour et mon affection à mes proches (famille, amis)…
  


Je pense que nous avons le pouvoir et le devoir de changer la donne…

Ne laissons pas nos enfants se sentir inférieurs ou différents parce qu'ils ne ressentiraient pas toute l'affection que nous avons pour eux.
Cependant, comment dire "je t'aime" à son ami sans susciter d’ arrières pensées?

Comment le dire à ses parents sans les embarrasser?

Comment simplement dire "je t'aime" sans se sentir diminuer? Vulnérable?

Nombreux sont ceux qui pensent que faire état de ses sentiments est un signe de faiblesse et de vulnérabilité.
L’une des conséquences de la démonstration de son affection est le fait de sortir du lot, et être différent.
Moi, je pense que nous devons avoir le courage d'être différents et de changer les choses pour nous mêmes, et pour nos proches...

#SoisLeHeros qui changera la donne et qui commencera à semer et exprimer son amour et son affection pour ses proches.


Sincères remerciements à Omell pour sa contribution à ses quelques lignes. God bless you!

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Comment obtenir une promotion?



Nous avons certainement tous le désir et l'aspiration de vivre mieux et de prospérer et c'est la raison pour laquelle la majorité d'entre nous se lève de bonne heure chaque matin et se rend à son lieu de travail. Mais bien que nous ayons des emplois, ce désir nous amène à rechercher tant bien que mal à avancer dans l'entreprise dans laquelle nous travaillons. Voici quelques conseils qui, d'après mon expérience et celui de certains de mes proches, pourraient , plus ou moins rapidement, vous permettent d'acquérir de l'avancement dans votre lieu de travail et donc vous conduire à cette promotion tant désirée mais qui jusqu'à présent vous échappe.




Avant toutes choses, il est important de savoir et de comprendre que rien de ce qui a de la valeur n'est gratuit, et donc il vous faudra nécessairement payer le prix et faire des sacrifices plus ou moins importants pour réussir.

Pour évoluer au sein de l'entreprise pour laquelle vous travaillez, il vous faut avoir certaines qualités ou si ce n'est pas le cas, il vous faudra travailler à les acquérir. Ces éléments ou atouts vous seront indispensables pour gagner la confiance et donc les bonnes grâces de vos leaders, qui bien évidemment, détiennent les clefs de votre avancement.

La première chose, et la plus importante, que vous devez posséder ou acquérir estl'amour du travail bien fait. Déjà que l'amour du travail n'est pas chose commune, celui de travail bien fait l'est encore moins. Pourtant ce dernier est indispensable, car personne ne fait confiance ou ne donne des responsabilités aux paresseux ou aux gens peu méticuleux dans leur travail et qui, par conséquent, ne produisent pas de résultats concrets et positifs.
Pour gagner la confiance de vos responsables il vous faut leur montrer et même leur démontrer que vous êtes une valeur sûre et qu'ils peuvent compter sur vous. Pour cela il vous faut être en mesure de travailler plus que les autres et de faire des sacrifices.

La deuxième chose que vous devez avoir ou travailler à développer est votre sens de l'observation et de l'initiativeVous devez être capable de déceler les manquements dans votre entourage professionnel et de pouvoir y apporter des solutions concrètes. Il vous faut donc travailler à être une force de propositions pertinentes et à terme vous devez devenir LA SOLUTION.
Votre esprit d'initiative doit vous amener à ne pas seulement et simplement faire vos tâches, mais aussi faire ce que l'entreprise à besoin que vous fassiez sans économiser vos efforts et cela avant même que vos leaders en expriment le besoin.

La troisième chose importante à posséder est l'ouverture d'esprit. Bien qu'il soit indispensable que vous soyez à la pointe de la connaissance dans tout ce qui touche de près ou de loin à votre domaine de compétence, si vous voulez évoluer, il vous faudra apprendre, connaître et maîtriser d'autres secteurs d'activité. Par conséquent, il est primordial que vous soyez dans un constant processus de recherche et d' apprentissage.




Le quatrième pré-requis, qui par ailleurs découle des 3 précédents, est le sens des responsabilités. Il vous faut, si vous ne l'avez pas encore, développer une mentalité et une attitude responsable. C'est à dire, être capable d'assumer aussi bien les victoires que les échecs et d'en subir les conséquences, mais aussi savoir se remettre en cause et chercher continuellement à évoluer et à faire évoluer l'entreprise pour laquelle vous travaillez ainsi que vos collègues et vos collaborateurs.

La cinquième qualité est la persévérance. Tout ne fonctionnera pas toujours comme vous le souhaiterez, et parfois vos efforts et votre bonne volonté ne seront pas appréciés à leur juste valeur. Il vous faudra indéniablement vous armer de patience et de persévérance car, comme le dit ma mère, "aussi vrai que leslâcheurs ne gagnent jamais, les gagneurs ne lâchent jamais".

La dernière chose et la non moins importante est la grâce divine. Il nous faut absolumentavoir l'humilité de reconnaître que nous avons besoin de Dieu à nos côtés pour réussir.

Voici donc, selon moi, les qualités à posséder et à développer pour garantir votre avancement professionnel. Il y'en a certainement d'autres plus ou moins importantes que celles sus mentionnées, mais j'ai choisi de vous parler de ces six éléments car je les ai moi même expérimenté et je sais qu'elles vous conduiront aux résultats attendus.

Merci à mes amis Michel Ambouroue, Melisa Oyini et Yoldin pour leur aide dans la rédaction de cette article.  


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Comment faire les bons choix?

Vous êtes certainement tous familiers avec cette affirmation: "la vie est un choix"!
Si vous pensez comme moi qu'elle est vraie alors vous conviendrez qu'il est vitale de savoir faire les bons choix. En y réfléchissant plus profondément je perçois que cette affirmation peut également nous permettre d'évaluer notre processus décisionnel car, en effet, si notre vie dépend de nos choix alors, en l’observant, il nous est possible de savoir si nous savons oui ou non faire les bons choix. Par conséquent, je t’invite à te poser cette question: suis-je pleinement satisfait de ma vie?



Cette interrogation, nous menant inexorablement à une profonde introspection, est à mon avis une question très complexe car la réponse est à la fois facile à énoncer (oui/non) mais très difficile à trouver.

Sachant que l'Homme est un éternel insatisfait, et que par ailleurs la majeure partie d'entre nous sommes des adeptes du concept "on va encore faire comment..." je prend le risque de croire que  la réponse est probablement négative et donc je m'interroge et j'aimerai comprendre comment avons nous fait pour en arriver là,  pourquoi nos vies ne sont pas aussi satisfaisantes que nous le voudrions?

Comme chacun d’entre nous, je dispose et jouis pleinement de mon libre arbitre, donc de ma capacité à choisir et par conséquent je comprend que si l'etat actuel de ma vie ne me satisfait pas c'est certainement parce que je n'ai pas su faire, ou su comment faire, les bons choix. Je peux donc aisément conclure que le premier responsable de l'état actuel de ma vie c'est MOI MÊME !

Aussi, une question me préoccupe et me chagrine profondément: comment suis-je parvenu à avoir une vie insatisfaisante alors que la majorité de mes choix semblaient être dans mon intérêt? Etant donné que mes choix "intéressés" ne m'ont pas apporté le résultat attendu, puis je réellement affirmer que mon processus décisionnel est fiable et digne de confiance? Suis-je réellement au contrôle de ma vie?

Toutes ces interrogations me plongent dans une profonde tristesse et une grande inquiétude. Mais je suis au moins sûr d'une chose: je veux avoir une vie pleinement satisfaisante, et pour cela je dois totalement me reprendre en main et revoir donc ma capacité à faire les bons choix.



Comment reprendre le contrôle de ma vie?

En y réfléchissant, j'ai compris que pour reprendre le contrôle, il me faut revoir mon processus décisionnel et donc la gestion que je fais de mon libre arbitre.

Avant je faisais mes choix de manière ponctuelle et intéressée mais je n'avais pas à l'esprit le fait que je devais avoir une vie satisfaisante et donc mes choix étaient toujours orientés vers le moment présent. Maintenant que j'ai un objectif à atteindre mes choix doivent inexorablement m'emmener à sa réalisation.

Comme la plupart d'entre nous, j'ai été formé à tirer des enseignements de mes expériences passées mais aussi de celles des autres. Ces enseignements sont devenu la base de connaissance sur laquelle je m'appuyais pour faire mes choix. Mais au vue du résultat médiocre découlant de ce procédé il me faut le changer et dans les délais les plus brefs!
Dans ce paradigme je constate que pour choisir je regardais toujours à mon vécu ou à celui de quelqu'un d'autre et par conséquent mes yeux étaient  rivés vers le passé. Pourtant si mes choix doivent m'emmener à la réalisation de mon objectif ce n'est pas vers le passé que je devrai regardé mais plutôt vers le futur, vers la visualisation de moi même lorsque l'objectif sera atteint.

Je comprends alors que mes choix ne doivent être basés ni sur mon passé, ni sur mon présent mais plutôt sur mon avenir.

Je comprends du reste que pour prendre entièrement le contrôle de ma vie, je dois avoir une vision claire de mon avenir et donc, contrairement à ce que je pensais, pour contrôler ma vie, je ne dois pas vivre en fonction du présent mais plutôt en fonction du futur que j'ai d'avance choisi.

Fort de cette découverte, j'ai décidé de me battre continuellement à ramener mon futur dans mon présent et ce en m’efforçant de faire les bons choix avec le bon paradigme...


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Comment décrocher son 1er emploi?

Il n’est pas toujours évident pour un jeune diplômé de trouver son 1er emploi et ce pour plusieurs raisons:
- manque d’expérience,
- salaire de base pas très attractif,
- volonté de valoriser rapidement les diplômes obtenus etc.


A mon avis, il serait judicieux de définir une petite stratégie qui pourrait leur permettre de décrocher ce 1er emploi tant recherché.


Qu'en pensez-vous?




Tout d'abord, il est important de savoir mettre les choses en perspective et de savoir la raison véritable pour laquelle vous voulez décrocher cet emploi et ensuite ce que vous êtes prêt à sacrifier pour l'obtenir. Ne vous y tromper pas! Rien de précieux n'est gratuit! Si vous voulez décrocher un bon boulot il va falloir y mettre le prix.
Je précise toute fois que je ne parle pas ici de choses répréhensibles voir répugnantes telles que les BST (Boulot Sexuellement Transmissible) ou autres...

Le prix à payer auquel je fais allusion ici c'est premièrement le travail de réflexion et de recherche, mais aussi le fait de ne pas travailler pour l'argent, mais plutôt pour la connaissance.


  • Réflexion par rapport à la stratégie à adopter (malheureusement, vu le nombre de demandeurs d'emploi aujourd'hui, il ne suffit plus de déposer son CV et d'attendre patiemment qu'on vous rappelle);
  • Recherche par rapport aux entreprises les plus enclines à vous embaucher selon votre profil.

L'erreur que font beaucoup de jeunes diplômés est de vouloir travailler pour l'argent. Ils veulent tout de suite avoir un bon salaire et par la même occasion valoriser leurs diplômes. Le fait de travailler pour la connaissance, implique de ne pas privilégier le salaire mais l'apprentissage qui elle engendre l'expérience; mais cela implique également d'être judicieux dans le choix des entreprises dans lesquelles vous voulez postuler.

Il est donc primordial de savoir ce que vous voulez réellement et de pouvoir vous ajuster à cela.


Si vous avez bien compris tout ce que j'ai mentionné précédemment et que vous savez clairement ce que vous voulez alors je vous propose la stratégie suivante:

CV en main, habillé sur votre 31, rendez-vous auprès de l'entreprise que vous avez sélectionné et là prenez un RDV avec le responsable ou le directeur du département dans lequel vous voulez travailler. Discuter avec lui (vendez vous correctement) et expliquez lui, qu'à cause de votre manque d'expérience, vous êtes prêt à travailler 6 mois pour le SMIC (si c'est une grande entreprise) ou pour une rémunération symbolique vous permettant juste de payer votre transport. Si il accepte, alors vous venez de décrocher votre 1er CDD! Il ne vous reste plus qu'à vous affirmer et à démontrer votre valeur pour que dans le CDD suivant vous soyez rémunéré comme il se doit...





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